jeudi 8 avril 2010

Jour 1 : Revenons un peu à Montréal

Voici quelques photos d'un pro : Gilbert Duclos, le papa de Lambert. Oui, bon, d'accord... il a un meilleur appareil que moi ! Faut pas comparer. Gilbert, tu nous fait des tirages de la photo dans les marches ? N'oublie pas que j'ai ton fils en otage !-)

Thierry


"On va leur montrer à caller l'orignal !", Margot


"Asseyez-vous sur le chariot avec votre valise M. Laperle. On se revoit à Paris. Et bon voyage !", un prof nerveux



"C'est louche ! Les filles, vous ne trouvez pas ça étrange que nos parent ont l'air heureux de nous voir partir !-(", des filles perspicaces.



"Récitez-moi le verbe "Sourire" à tous les temps les enfants ! ... Les parents, vous me ferez le verbe "Brailler" !!! ", un prof jusqu'au bout.



"Prêts ?", Air Transat



"Go ! Battez très fort des bras... ne lachez pas, vous allez bientôt décoller ! ... Plus fort les grands au fond !!!", Air Transat

Jour 1, 2e partie : On entre en Seine

Après un léger repos à l'hôtel en après-midi (sauf pour quelques gars/filles cette fois nommés (première lettre des prénoms : VLZAGJ0ASB), nous nous sommes fait bercer par les vaguelettes brunâtres de la Seine. Une belle visite guidée, par un jeune Parisien bilingue, qui fréquentait Molière et Shakespeare mieux que tous les députés Conservateurs, Péquistes et Bloquistes réunis ! Avec ce petit accent londonien qui souligne subtilement que les Français sont chanceux d'aller apprendre leur anglais à Londres au lieu de Winnipeg, Edmonton, Miami ou Ste-Anne-De-Bellevue.

On a terminé le tout par une délicieux repas à la "Cocotte Jolie" (si ça avait été l'inverse, on se serait inquiété pour la bonne éducation de nos/vos enfants !). Pâté de campagne maison, boeuf bourguignon ou poulet à la Colombo (les épices, pas l'inspecteur), île flottante au caramel ou chaud froid au chocolat (au Québec, plus simplement, on appelle ça un brownies avec une sauce au chocolat chaude et une boule de crème glacée !-)

Comme le 1er étage du resto ne contenait que 26 places, nous avons tenté une l'expérience de les laisser manger entre eux et nous, les adultes, de siroter un peu de vin tranquille en bas (en se disant : ils sont tellement patraques qu'ils ne foutront pas le bordel) : ben ils en ont dedans les p'tit maudits ! Un profond gisement de fun grouille en eux ! Une mine à ciel ouvert de franche rigolade les anime ! Heureusement, la serveuse et le jeune patron savaient y faire, les trouvaient charmants et ne cessaient de nous dire "Mais ils sont adorables ces enfants !". Anick a tout de même sauvé in extremis le plateau en verre d'une table basse qui avait le malheur de dormir tranquillement dans un coin de l'étage !

Retour à l'hôtel vers 10h et dodo à 10h 01min 4,768 secondes.

Voici quelques photos de la fin de notre première journée. Notez que pour cette première journée, je n'ai diffusé que mes photos prise avec un téléphone. Donc de qualité plus que moyenne (un petit D+, limite C). Demain, j'aurais accès à des photos d'autres personnes présentes et Gilbert Duclos m'en a envoyé du départ, que je vous partagerais avec joie.

À demain,

Thierry















Jour 1 : le grand débarquement !

Après un léger retard de 45 minutes au départ de Montréal (nous soupçonnons un parent désireux de prolonger les "au revoir" avec son enfant !-), nous avons pris place à bord. Évidemment, nous avons eu droit à une joyeuse partie de "siège musical" avant le décollage.

Chaque jeune était cramponnée à son appui-bras, ou à son voisin, lorsque l'avion a quitté le plancher des vaches. Mais l'atmosphère s'est vite détendue en apesanteur, sous l'effet de la musique et du film pour les plus jeunes... et d'une petite bouteille individuelle de vin mousseux pour les adultes !

Pendant le vol, certains ont eu la chance, le privilège, le bonheur, le plaisir ultime de dormir ! Les autres étaient à distance d'oreilles d'un groupe dont je tairait le nom, mais que je peux identifier par le première lettre du prénom : VALMAFT.

L'arrivée à Paris s'est très bien fait, malgré un peu de retard dans la préparation des chambres à notre arrivée à l'hôtel. Comme pour bien nous signifier que nous étions désormais en France, un comité d'employés de l'entretient avait décidé de faire une grève éclair !-(

Mais Paule, notre ministre du tourisme et déléguée de Laurier à Paris, a géré le départ de l'aéroport, l'arrivée à l'hôtel, les courses, les chambres, comme elle seule sait le faire. Aux définitions d'"efficacité" et de "virtuosité" dans le Larousse, il faudra maintenant ajouter son nom et son portrait.

Je vous laisse sur quelques photos pigées au hasard dans mon iPhone de notre départ à notre arrivée dans nos chambres.

À plus tard,

Thierry